
Les Oubliettes
Épisode 140: Fantasia 2018, semaine 3
C'est déjà la fin d'un beau rêve de 3 semaines qui a passé si vite. L'émotion nous prend à la gorge alors que nous vous offrons un retour sur la dernière semaine du festival Fantasia 2018. Notre team de feu critique ses coups de coeurs et coups de masse. Une belle manière de préparer votre to do list des films à venir dans les prochains mois. Bonne écoute!
Feuille de route
Tous les épisodes
Les Oubliettes 11 avril
L’ancre de la Santa Maria sous l’angle de la sémiologie – La bataille de Blair Mountain de 1921 Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Fritz-Gerald Lewis vient nous parler de l’ancre du navire de Christophe Colomb, la Santa Maria, sous l’angle de la sémiologie. Comment peut-on aborder ce sujet aujourd’hui et qu’évoque-t-il? En analysant la symbolique de cet objet, nous découvrirons qu’il porte plusieurs messages, de la rencontre entre l’Ancien et le Nouveau Monde au les débuts de la colonisation en passant par l’introduction du Christianisme en Amérique, cette ancre possède une force symbolique puissante. Pierre-Luc Noël nous parle de la guerre du charbon en Virginie-Occidentale, un terme qui désigne la succession de conflits syndicaux ayant eu lieu dans cette région de 1912 à 1921 et qui atteint son paroxysme avec la bataille de Blair Mountain en août 1921.
Les Oubliettes 04 avril
L’industrie du bois de sciage au XIXe siècle – L’histoire du Nouveau Parti démocratique du Canada Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Sophie Quirion explore les transformations de l’industrie du bois de sciage au XIXe siècle, en mettant en lumière l’importance des échanges commerciaux transfrontaliers. De son côté, Pierre-Luc Noël vient nous rappeler l'histoire du NPD, le Nouveau Parti démocratique du Canada, de sa fondation à aujourd'hui.
Les Oubliettes 28 mars
L’aménagement de la diversité linguistique au Québec – Les réactions des minorités culturelles du Québec face aux mesures linguistiques– Les Éditions Parti Pris Cette semaine, à Histoire de Passer le temps, Gabriel Jarvis s’intéresse aux mesures législatives du gouvernement québécois pour aménager la diversité linguistique. La Loi 101 est perçue par les défenseurs de la langue française comme une grande victoire. Cependant, cette loi s’inscrit dans la reconnaissance du pluralisme au Québec. Simon Provost nous invite à examiner les réactions des minorités culturelles à l’égard de ces mesures linguistiques prises par les différents gouvernements québécois. Bien que les politiques linguistiques soient relativement bien documentées, il en va autrement pour leur impact sur les communautés concernées. Sarah Miles se penche sur l’histoire fascinante des éditions Parti Pris. Pendant près de deux décennies, entre 1964 et 1984, un petit groupe de bénévoles a fait tourner la seule maison d’édition de gauche au Québec.
Les Oubliettes 21 mars
Les Jeux olympiques en Union soviétique entre 1952 à 1991 – La covid-19 au Québec Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Catherine Thibeault vient nous expliquer l’importance des Jeux olympiques en Union soviétique entre 1952 à 1991. De son côté, Alexandre Haché revient sur les grands évènements marquants de l’épidémie de la covid-19 au Québec.
Les Oubliettes 14 mars
Pecunia ex machina : l’invention de la dette souveraine (partie 2) – Le Spartak de Moscou – Le « Ô Canada » Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Maxime Tessier poursuit sa série Pecunia ex machina : l’invention de la dette souveraine. Dans ce deuxième épisode, il présente une série d’innovations financières apparues entre la fin du Moyen Âge et la Renaissance grâce aux mathématiques. Catherine Thiebault nous fait découvrir l’histoire du soccer en ex-URSS avec un club emblématique : le Spartak de Moscou. Elle nous explique comment celui-ci va devenir un incontournable des spectateurs soviétiques. Enfin, Jean-Philip Desjardins Warren nous raconte l’histoire de l’hymne canadien. Les hymnes nationaux sont des marqueurs d’identité pour les pays qu’ils représentent. Le « Ô Canada » ne fait pas exception, mais avec ses deux versions officielles, comment ce chant est-il parvenu à rassembler les Canadiens francophones et anglophones?