
Histoire de passer le temps
La Grande Terreur – Les féministes du XIXe siècle en Angleterre
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Catherine Thibeault nous parle de la période de la Grande Terreur. Elle nous apprend que sous Staline, de 1936 à 1938, le gouvernement de l’Union soviétique aurait entrepris une purge au sein de sa population, mais aussi de son gouvernement. Lucie Lemieux nous présente quant à elle le mouvement féministe anglais de la seconde moitié du XIXe siècle. Elle nous explique que ces premières féministes, bien qu’elles pointent du doigt les mêmes problèmes sociétaux, ont des discours qui diffèrent.
Feuille de route
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Histoire de passer le temps 11 avril
L’ancre de la Santa Maria sous l’angle de la sémiologie – La bataille de Blair Mountain de 1921 Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Fritz-Gerald Lewis vient nous parler de l’ancre du navire de Christophe Colomb, la Santa Maria, sous l’angle de la sémiologie. Comment peut-on aborder ce sujet aujourd’hui et qu’évoque-t-il? En analysant la symbolique de cet objet, nous découvrirons qu’il porte plusieurs messages, de la rencontre entre l’Ancien et le Nouveau Monde au les débuts de la colonisation en passant par l’introduction du Christianisme en Amérique, cette ancre possède une force symbolique puissante. Pierre-Luc Noël nous parle de la guerre du charbon en Virginie-Occidentale, un terme qui désigne la succession de conflits syndicaux ayant eu lieu dans cette région de 1912 à 1921 et qui atteint son paroxysme avec la bataille de Blair Mountain en août 1921.
Histoire de passer le temps 04 avril
L’industrie du bois de sciage au XIXe siècle – L’histoire du Nouveau Parti démocratique du Canada Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Sophie Quirion explore les transformations de l’industrie du bois de sciage au XIXe siècle, en mettant en lumière l’importance des échanges commerciaux transfrontaliers. De son côté, Pierre-Luc Noël vient nous rappeler l'histoire du NPD, le Nouveau Parti démocratique du Canada, de sa fondation à aujourd'hui.
Histoire de passer le temps 28 mars
L’aménagement de la diversité linguistique au Québec – Les réactions des minorités culturelles du Québec face aux mesures linguistiques– Les Éditions Parti Pris Cette semaine, à Histoire de Passer le temps, Gabriel Jarvis s’intéresse aux mesures législatives du gouvernement québécois pour aménager la diversité linguistique. La Loi 101 est perçue par les défenseurs de la langue française comme une grande victoire. Cependant, cette loi s’inscrit dans la reconnaissance du pluralisme au Québec. Simon Provost nous invite à examiner les réactions des minorités culturelles à l’égard de ces mesures linguistiques prises par les différents gouvernements québécois. Bien que les politiques linguistiques soient relativement bien documentées, il en va autrement pour leur impact sur les communautés concernées. Sarah Miles se penche sur l’histoire fascinante des éditions Parti Pris. Pendant près de deux décennies, entre 1964 et 1984, un petit groupe de bénévoles a fait tourner la seule maison d’édition de gauche au Québec.
Histoire de passer le temps 21 mars
Les Jeux olympiques en Union soviétique entre 1952 à 1991 – La covid-19 au Québec Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Catherine Thibeault vient nous expliquer l’importance des Jeux olympiques en Union soviétique entre 1952 à 1991. De son côté, Alexandre Haché revient sur les grands évènements marquants de l’épidémie de la covid-19 au Québec.
Histoire de passer le temps 14 mars
Pecunia ex machina : l’invention de la dette souveraine (partie 2) – Le Spartak de Moscou – Le « Ô Canada » Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Maxime Tessier poursuit sa série Pecunia ex machina : l’invention de la dette souveraine. Dans ce deuxième épisode, il présente une série d’innovations financières apparues entre la fin du Moyen Âge et la Renaissance grâce aux mathématiques. Catherine Thiebault nous fait découvrir l’histoire du soccer en ex-URSS avec un club emblématique : le Spartak de Moscou. Elle nous explique comment celui-ci va devenir un incontournable des spectateurs soviétiques. Enfin, Jean-Philip Desjardins Warren nous raconte l’histoire de l’hymne canadien. Les hymnes nationaux sont des marqueurs d’identité pour les pays qu’ils représentent. Le « Ô Canada » ne fait pas exception, mais avec ses deux versions officielles, comment ce chant est-il parvenu à rassembler les Canadiens francophones et anglophones?