9. La responsabilité criminelle

Aujourd'hui, sur AcadémiA, Amélie Lamontagne (animatrice et chroniqueuse, étudiante au doctorat en droit) et ses invitées, Mélina Dorval (étudiante au doctorat en administration) et Marjorie Charbonneau (étudiante au doctorat en histoire de l'art) explorent pourquoi il n'y a pas de crime universel. Une des raisons avancées est que la responsabilité criminelle, qui est centrale dans le système pénal, repose sur la démonstration d'intention derrière l'acte et la présence d'un acte commis. Deux principes dont l'interprétation est très influencés par le contexte ainsi que la perception de ce qui est moral selon les époques et les cultures. Notre chroniqueuse présente des exemples pour illustrer ce point, en plus de nous guider ainsi que ses deux invités dans l'exploration de certaines des lacunes structurelles de l'organe juridique dû au biais de ceux qui l'ont créé.

Nos recommandations de l'épisode:
Les écrits de Nicola Lacey, Spécialiste du droit britannique
Imperfect Victims de Leigh Goodmark (l'autrice dont ils ont manqués de temps pour aborder)
Libérées : le combat féministe se gagne devant le panier de linge sale, livre par Titiou Lecoq (même recommendation que le précédent épisode)
Je vous salue salope : La misogynie au temps du numérique, un film de Léa Clermont-Dion et Guylaine Maroist
Bitch! Une incursion dans la manosphère, réalisateur Charles Gervais
In Nomine Patris, film de Marc Hansmann et Myriam Tonelotto

Musique d'introduction par #Uppbeat:
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