Épisode 164 (fais avec!)

Eric s'est une fois de plus plongé dans le nanar et il en a choisi tout un! Robo Vampire, réalisé par le méconnu mais légendaire Godfrey Ho. De son côté, Simon avait envie de raconter une histoire et démystifier la légende: Est-ce vrai que l'acteur Chevy Chase est un trou de cul?

Nous entrons dans une ère nouvelle. Les Oubliettes passent en mode 2.0. Nous quittons le studio et mettons de côté le "direct" pour enregistrer depuis la cuisine de Simon, pour la première fois. Parfois on a simplement besoin de changement pour se pincer et se réveiller. Nous voilà de retour avec une fébrilité palpable pour cet épisode à la dynamique chamboulée. Dans cet épisode le nanar est en vedette alors qu'Olivier nous parle de "Night Killer" (1990), tandis que Lawrence nous reviens avec ses chroniques Ciné-Drogue. Elle a eu la piqûre des danses latines à cause du film "Cocaïne" (1984) à la bande sonore inappropriée. 

Nous vous offrons un grand retour sur le festival SPASM 18e édition! Nous parlons de nos coups de coeur et nos coups de masse. Comme à chaque année, ce fut une incroyable célébration, et je pense que ça se sent en studio... nous sommes brûlés et on ne s'est pas encore remis. Oh lala, il n'y en aura pas de facile! Bonne écoute!

Cette semaine Simon est absent! Olivier et Eric en profitent pour parler dans son dos. Ça n'empêchera pas Simon d'offrir son entrevue avec Jarrett Mann pour parler du festival SPASM qui arrive à nos porte. De son côté, Eric se lance dans sa première critique en bonne et due forme. Et ce qu'il a choisi nous décourage... School Spirit (1985, alias Fantôme en délire). Bonne écoute.

Un départ tout en douceur et d'une précision chirurgicale alors qu'Olivier a oublié comment fonctionne la console durant ses vacances. Retour sur le week-end de Simon au Festival de cinéma de la ville de Québec. Eric nous rapporte les actualités horrifiques et Lawrence Côté-Collins nous donne ses impressions du dernier film de Neil Breen, Twisted Pair, depuis la passerelles. Tommy Wiseau peut aller se rhabiller avec ses films plates. Neil Breen est le futur. Bonne écoute.