
Les Reportages de Choq.ca
Francouvertes 2025 #1 avec Oli Féra, Dogo Suicide et De Mal En Pire
Ça brassait le 10 mars pour lancer les Francouvertes au Lion d'Or avec
Le 10 mars dernier, c'était la soirée que tout le milieu culturel québécois attendait avec impatience : les Francouvertes étaient officiellement lancées. Ça envoyait, ça brassait, ça sonnait : pleu de qualificatifs sont bons pour décrire cette soirée rock, punk et métal.
Nos journalistes Marion Loiselle et Baby Lafrance se sont entretenus avec les artistes Oli Féra, Dogo Suicide et De Mal En Pire, pour mieux saisir l'essence de leur groupe, leurs jappements favoris ou encore ce qui nous CHOQuerait de ces différents groupes.
Bonne écoute!
Crédit photo: Jaime Antonio Luna
Feuille de route
Tous les épisodes
Les Reportages de Choq.ca 04 avril
L’industrie du bois de sciage au XIXe siècle – L’histoire du Nouveau Parti démocratique du Canada Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Sophie Quirion explore les transformations de l’industrie du bois de sciage au XIXe siècle, en mettant en lumière l’importance des échanges commerciaux transfrontaliers. De son côté, Pierre-Luc Noël vient nous rappeler l'histoire du NPD, le Nouveau Parti démocratique du Canada, de sa fondation à aujourd'hui.
Les Reportages de Choq.ca 28 mars
L’aménagement de la diversité linguistique au Québec – Les réactions des minorités culturelles du Québec face aux mesures linguistiques– Les Éditions Parti Pris Cette semaine, à Histoire de Passer le temps, Gabriel Jarvis s’intéresse aux mesures législatives du gouvernement québécois pour aménager la diversité linguistique. La Loi 101 est perçue par les défenseurs de la langue française comme une grande victoire. Cependant, cette loi s’inscrit dans la reconnaissance du pluralisme au Québec. Simon Provost nous invite à examiner les réactions des minorités culturelles à l’égard de ces mesures linguistiques prises par les différents gouvernements québécois. Bien que les politiques linguistiques soient relativement bien documentées, il en va autrement pour leur impact sur les communautés concernées. Sarah Miles se penche sur l’histoire fascinante des éditions Parti Pris. Pendant près de deux décennies, entre 1964 et 1984, un petit groupe de bénévoles a fait tourner la seule maison d’édition de gauche au Québec.
Les Reportages de Choq.ca 21 mars
Les Jeux olympiques en Union soviétique entre 1952 à 1991 – La covid-19 au Québec Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Catherine Thibeault vient nous expliquer l’importance des Jeux olympiques en Union soviétique entre 1952 à 1991. De son côté, Alexandre Haché revient sur les grands évènements marquants de l’épidémie de la covid-19 au Québec.
Les Reportages de Choq.ca 14 mars
Pecunia ex machina : l’invention de la dette souveraine (partie 2) – Le Spartak de Moscou – Le « Ô Canada » Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Maxime Tessier poursuit sa série Pecunia ex machina : l’invention de la dette souveraine. Dans ce deuxième épisode, il présente une série d’innovations financières apparues entre la fin du Moyen Âge et la Renaissance grâce aux mathématiques. Catherine Thiebault nous fait découvrir l’histoire du soccer en ex-URSS avec un club emblématique : le Spartak de Moscou. Elle nous explique comment celui-ci va devenir un incontournable des spectateurs soviétiques. Enfin, Jean-Philip Desjardins Warren nous raconte l’histoire de l’hymne canadien. Les hymnes nationaux sont des marqueurs d’identité pour les pays qu’ils représentent. Le « Ô Canada » ne fait pas exception, mais avec ses deux versions officielles, comment ce chant est-il parvenu à rassembler les Canadiens francophones et anglophones?
Les Reportages de Choq.ca 07 mars
Sister Rosetta Tharpe – Ranavalona Ire Cette semaine, à Histoire de passer le temps, on célèbre la journée internationale des femmes! Pour cette occasion, Émilie Bédard nous présente la guitariste et chanteuse gospel Sister Rosetta Tharpe (1915-1973). Ingénieuse, talentueuse, mais malheureusement trop peu connue aujourd’hui, elle aurait contribué à l’essor du fameux rock’n’roll. Mélissa Andrianasolo nous parle quant à elle de Ranavalona Ire (1778-1861). Dépeinte comme cruelle envers les Européens, mais protectrice envers son peuple, Mélissa nous explique que cette ancienne reine de Madagascar, à l’image de l’histoire de son pays, est au cœur d’enjeux de narration.